Le Micro-massage
Une stimulation légère des tissus mous.Un dérivé de l’ostéo-magnétisme, le toucher énergétique.
Le Micro-massage Crânien ou Viscéral : qu’est ce que c’est ?
Le micro-massage est une technique de toucher énergétique sensible, il s’agit d’un dérivé de ostéo-magnétisme.
C’est le mouvement primordial qui est utilisé.
C’est un mouvement qui est ressenti de façon très subtile, l’oscillation propre à chaque individu pour la réharmoniser.
Lorsqu’il y a un blocage, il peut-être plus fort d’un côté que de l’autre mais traduit une disharmonie énergétique.
Ce mouvement est présent dans chaque chose, dans toute cellule, il est la vie.
Il se présente sous la forme d’une lemniscate, il va dans un sens et dans l’autre, c’est une oscillation.
Il est lié au liquide céphalo rachidien qui parcourt la colonne vertébrale et va donner l’information de ce mouvement.
Nous retrouvons ce mouvement au niveau du champ magnétique de la Terre.



Les mouvements effectués sont semblables à des mouvements d’ailes de papillons.
Ce massage permet un lâcher prise total en quelques minutes, il permet de relancer un mécanisme interne fluidique.
Grâce à la stimulation de certains points d’acupuncture et à la manipulation des différentes parties osseuses du crâne et de leurs sutures, un bien-être profond est atteint.
Toutes les émotions, ont un impact sur notre estomac. Nous pouvons recenser 200 millions de neurones dans notre ventre.
Notre système entérique, ne suit les ordres du cerveau ou de la moelle épinière, contrairement au système nerveux.
D’ailleurs, nos intestins réagissent fortement en cas de grand stress : ballonnements, diarrhées, constipation, nausées,…
Nos réactions viscérales peuvent nous tordre le ventre.
Et, au delà d’être un système d’absorption des aliments, c’est un émonctoire important, qui permet aussi l’élimination.
Par des techniques de massages, le système de gestion est soutenu et permettra la détente nerveuse du système entérique.
Par des mouvements légers et libérateurs, les émotions refoulées sont libérées.

